Tel une prédatrice je me lance sur ma proie,
les adversaires n’ont qu’à bien se tenir.
Je ne suis plus la gentille fille,
mais la lionne résultant de l’amour.
La pitié n’est plus du jeu,
tout les coups sont permis.
La séduction devient une guerre ouverte,
où il n’y a de place que pour l’une des deux.
La meilleure gagnera,
puisque l’amour le veux ainsi.
Mais des fois on oublie l’amant,
et on ne pense qu’à la rivale,
et cela est le début de la défaite.
L’amour est égoïste les premiers temps,
puis tout cela change une fois le territoire à nous.
Nous sommes des animaux malgré ce que l’ont dit